En famille ou avec ses amis, sur le lieu de travail ou en vacances, la quête du bien-être gagne du terrain sur tous les pans de notre vie. Cet engouement ne date pourtant pas d’hier. Or, pour la sophrologie, ce bien-être sous forme de lâcher prise est un point de passage essentiel pour résoudre certains problèmes. D’où le fait que la sophrologie a toute sa place dans le paysage de la thérapie moderne.
Qu’est-ce que le bien-être ?
Pour comprendre le rôle important de la sophrologie de nos jours, il faut évidemment s’intéresser à cette notion de bien-être tant recherchée par nos contemporains. Le bien-être est difficile à définir en quelques mots tant la notion recouvre d’implications et d’imbrications. Toutefois, deux éléments interdépendants peuvent offrir une réponse acceptable. Le bien-être se traduit par une composante objective, définie par un bon état de santé général et une qualité de vie personnelle et collective reconnue. Le bien-être se compose aussi d’une partie subjective, nourrie par les perceptions et les représentations de chacun.
Tous n’avons pas les mêmes ressentis face à un événement par exemple. Quelque chose d’insurmontable pour les uns, ne sera qu’une petite marche à gravir pour les autres. On entre ici dans la sphère de la psychologie, c’est-à-dire le regard que nous portons sur nous-mêmes. Un regard biaisé, déformant et forcément troublant sans recul nécessaire. De ces éléments subjectifs qui brouillent notre regard naissent les peurs, les angoisses, les phobies, le stress, les blocages. C’est là que le sophrologue peut intervenir, fort de son savoir-faire (ses techniques) et de son savoir-être (son éthique).
La sophrologie, une discipline psycho-corporelle
La sophrologie est une discipline qui s’intéresse à la conscience humaine sous toutes ses coutures. Mais elle voit l’être humain dans sa globalité, d’où le fait qu’elle traite aussi bien l’aspect psychologique (relation d’aide, hypnose, etc.) que l’aspect corporel. Cette discipline s’appuie sur trois principes majeurs : le schéma corporel (prendre conscience de soi, de son corps à travers l’expérimentation de sensations), le principe d’action positive (se focaliser sur un vécu positif et sur ses énergies internes à mobiliser) et le principe de réalité objective (travail du sophrologue sur lui-même).
Dans une société où la déshumanisation guette et les conséquences du mal-être enflent, la sophrologie a évidemment toute sa place. Elle n’a pas pour but de guérir mais d’accompagner les personnes en demande de relation d’aide à atteindre des objectifs concrets et préalablement fixés avec le professionnel.
Thérapie brève, la sophrologie consiste donc à passer par un lâcher prise afin de dévoiler les nœuds. Son but : élaborer une stratégie qui permettra de tendre vers le bien-être et l’épanouissement personnel.
L’EFDS défend évidemment la sophrologie dans le paysage de la thérapie. Elle développe un cursus pour permettre à tous ceux qui le désirent de se former au métier de sophrologue. Ce cadre rigoureux s’inscrit dans le cadre d’un plan de formation amenant à l’exercice de ce si beau métier. Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à nous contacter !